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Chantal Mathieu : “Je n’ai jamais eu autant d'espoir qu’aujourd’hui”.

On ne la présente plus tant elle est connue sur la planète diabète. L’endocrinologue belge Chantal Mathieu est sur tous les fronts de la diabétologie, du cabinet où elle consulte à Louvain, au centre de recherche européen INNODIA en passant par la présidence de l’European Association for the Study of Diabetes. Visionnaire, humaniste et optimiste, nous nous sommes entretenus avec elle lors du congrès de l’IDS en mai dernier. Dans cet entretien, disponible également en vidéo en anglais sous-titré en français, elle revient sur l’importance du dépistage du diabète de type 1 (DT1) et sur les traitements présents et futurs capables de ralentir et guérir le diabète de type 1.

Chantal Mathieu : “Je n’ai jamais eu autant d'espoir qu’aujourd’hui”.
Glucose toujours
  • Glucose toujours : Quels sont vos sujets de recherche de prédilection ?

     

    Chantal Mathieu : Je m'intéresse à l'endocrinologie parce que je suis endocrinologue, c’est-à-dire que je soigne des personnes qui ont une maladie du système hormonal. Mon cœur penche vraiment vers le diabète qui est une des maladies qui a à voir avec des anomalies de la sécrétion ou de l'action de l'insuline. Parmi les différents types de diabètes, mon cœur penche pour le DT1. Dans le diabète de type 1, le système immunitaire détruit d'une manière ou d'une autre la cellule bêta, qui est la seule cellule capable de produire et de réguler l'insuline dans notre corps. L'essentiel de mes recherches porte sur le DT1.

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