Glucose toujours, le média qui en dit long sur le diabète

Diabète, prévention et santé digitale : là où on ne l’entend pas.

La santé digitale est déjà sur le devant de la scène : les feux des projecteurs sont braqués sur les algorithmes et les boucles fermées. Mais ne sous-estimez pas l’Intelligence Artificielle, capable de déterminer les émotions des personnes vivant avec un diabète à partir de leurs tweets ou d’analyser leur voix pour diagnostiquer un diabète. On fait la tournée de deux projets aussi inattendus qu’inouïs.

Diabète, prévention et santé digitale : là où on ne l’entend pas.
Vous devez lire l'article pour comprendre.
  • Les digitosomes : un nouveau concept entre en scène.

    Les personnes vivant avec un diabète produisent beaucoup de données. On parle de digitosomes pour désigner toutes les données générées en ligne par un individu, de celles provenant des réseaux sociaux tels que Twitter aux données issues des dispositifs médicaux connectés comme les capteurs de glycémie. Les digitosomes sont une caverne d’Ali Baba pour les chercheurs : en plus des données cliniques et épidémiologiques, ils leur apportent une nouvelle compréhension de la vie avec un diabète. L’analyse des digitosomes est particulièrement pertinente pour saisir l’impact du diabète sur la santé mentale.


    En 2021, des chercheurs se sont posés pour définir plus précisément la dépression, la détresse liées au diabète et le burnout. Ainsi, la dépression fait référence à des sentiments de tristesse, de désespoir, d'inutilité, de fatigue et de difficulté à se concentrer tandis que la détresse, qui contrairement à la dépression, n'est pas un trouble psychiatrique, désigne les émotions négatives ressenties par les personnes vivant avec un diabète. Enfin, l'épuisement du diabète ou burnout se manifeste par un abandon de son traitement. Il se caractérise par une intense fatigue mentale, émotionnelle et physique liée à la maladie. Les chercheurs s’accordent à dire qu’il faut approfondir les études sur ces émotions pour offrir aux patients le traitement le plus personnalisé qu’il soit. Vous ne voudriez pas qu’on vous prescrive du Anitta à la place d’Adèle.

Pas encore abonné.e?

La suite de cet article est réservé aux abonnés de Glucose toujours. Pour ne rien manquer de l’actualité de la planète diabète et soutenir notre média et notre indépendance, rejoignez-nous !

Je suis déjà abonné.eConnexion
Je m‘abonne!
Je m'abonne au magazine numérique Glucose toujours!

Même planète, autres sujets

Même planète, autres sujetsMême planète, autres sujets