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Éloge de la désobéissance médicale.

Tu es loin de chez toi et tu n’as pas ton ordonnance. Il ne te reste plus qu’un fond d’insuline mais tu sais que tu verras ton pharmacien dans deux jours. C’est presque la galère, mais tu gères. Nina nous fait l’éloge de la désobéissance médicale.

Éloge de la désobéissance médicale.
Photomontage à partir d'une photo de Bruno Figueiredo/Unsplash.
  • En plein déménagement, je bougeais entre la Normandie, la région parisienne et la Moselle. J’avais laissé mon ordonnance chez ma mère et j’étais partie chez mon père, avec quelques restes d’insuline qui devaient tenir la semaine que j’allais passer en Normandie. C’était juste, je le savais, mais j’avais la tête ailleurs et le diabète passait au second plan pendant ce séjour. D’ailleurs, j’étais au-dessus des 200 mg/dL cette semaine-là malgré ma boucle fermée. La pénurie d’insuline pouvait arriver à tout moment et pourtant je le gardais pour moi. 

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