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Keïla chante sa “Maladie”.

À l’occasion de la sortie de “Pure”, la chanteuse afro-européenne nous emmène sur le chemin de la guérison.

Keïla chante sa “Maladie”.
© Mahamoud
  • Lorsqu’elle nous parle de sa musique, de sa grand-mère ou des blessures qui font la vie, Keïla enchante autant qu’elle inspire. Cette jeune artiste d’origine comorienne et malgache (du côté de sa maman) et antillaise (du côté de son papa) est née en France en 1998. Depuis ses 8 ans, elle voyage beaucoup, entre Paris, Londres et la Réunion. Et puis, elle ressent cette “urgence”, comme elle la définit. Urgence de s’exprimer depuis le décès de sa grand-mère quand elle avait 5 ans, partie trop tôt d’un cancer du sein. Urgence de mettre des mots sur ses sentiments qu’elle a du mal à accueillir. “La chanson est arrivée dans ma vie comme un moyen de communication, mais surtout comme un moyen de m’apaiser” nous confie-t-elle. En février 2024, elle sort “Pure”, son premier EP (pour Extended Play, format plus court qu’un album). “Maladie” est le troisième morceau, une chanson sur son diabète de type 1. Rencontre.

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