Une piqûre d’aventure.
Pour aller à l’autre bout du monde avec mon diabète dans les bagages - littéralement, entre les aiguilles, les lancettes, les cathéters, les bandelettes, les stylos, les flacons et les kilos de sucre, on peut dire que ça prend de la place - il m’aura fallu un tiers d’insouciance, un tiers de confiance et un tiers de persévérance. Le petit 0,1 qu’il reste ? Des rencontres au fil de l’eau, à chaque étape, jusqu’à ce que je sois sûre que je survivrai là-bas, en Birmanie.
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